Alice Springs, une autre facette de l’Australie
Alice Springs, ville de contrastes
Ville rocailleuse écrasée par le soleil et ses 39 degrés à l’ombre au milieu du désert et des monticules rocheux, Alice Springs revêt une ambiance très particulière.
Pas grand chose à faire dans la ville, si ce n’est quelques galeries d’art aborigène, quelques parcs animaliers, dont un très sympa que j’ai visité que les animaux du désert : perroquets, kangourous, émus, dingos…
Bien sûr, pas loin (enfin à plus de 400km quand même!) se trouve le fameux rocher rouge sacré d’Ayers rock: c’est donc avant tout le point de départ pour la visite de ce lieu touristique.
Cette ville me laisse une impression étrange liée au contraste qu’elle représente avec les autres villes Australiennes que j’ai visité jusqu’à présent: la culture aborigène est partout, notamment pour les besoins du tourisme (peintures, motifs aborigènes,, etc) mais les descendants des aborigènes eux, sont dans un dénuement total.
J’ai été surprise de les voir trainer dans les parcs, le lit de la rivière asséchée, dans les rues… on comprend vite le fossé qui les séparent de l’autre Australie, riche et fière.
Une ville de constrastes que seuls les piaillements des perroquets colorés, les peintures murales et couleurs rougeoyantes du sable et des couchers de soleil arrivent à agayer.
ze